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Lectures de septembre
Pas grand chose, ce mois-ci. La rentrée, ça prend du temps. ^^;;
"Les Hauts de Hurlevent", par Emily Brontë
Encore un classique que je n'avais jamais lu (roman, environ 450 pages dans ma VF).
C'était très chouette, j'aime l'ambiance, j'aime les personnages mais de loin de préférence. ^^ Je pensais que j'avais été spoilée, mais en fait c'était seulement sur certains éléments du Catherine/Heathcliff (qui est le centre de l'histoire, mais pas l'unique élément, de loin), et au total il me restait plein de surprises. En particulier, j'ai eu la chance d'à peine survoler l'arbre généalogique spoiler au début de tome, et de le résumer dans ma tête en "ils s'appellent tous pareil". ^^
Sinon : certains éléments de la fin me semblent un peu rapide, mais elle reste globalement satisfaisante, le côté fantastique (au sens 19e "c'est peut-être du surnaturel... ou peut-être pas") est plus présent que je n'aurais cru et c'est cool, et... bon, vu que j'ai réussi à n'être presque pas spoilée, ça serait vil de ma part de spoilers les gens avec. Mais ça me ferait plaisir de discuter avec des fans dans les commentaires de ce post !
(Mais quand même, c'est moi, c'est la traduction, ou ça se passe dans un univers alternatif où personne n'est capable de réaliser/personne n'a l'impudeur de mentionner qu'une femme est enceinte jusqu'au jour de l'accouchement ? ^^)
"Le Cauchemar de l'épouvanteur", et "Les Sorcières de l'épouvanteur" par Joseph Delaney
Roman, environ 360 pages, tome 7 de la série (je vais bientôt arriver au bout de ce qui est traduit en français, mais peu importe, ça sort vite en VO et ça se fait vite traduire, je n'aurai pas beaucoup à attendre).
Pas grand chose à dire, à part que j'aime toujours autant, on garde toujours l'aspect moralement ambigu et les alliances douteuses, avec un peu de guerres médiévales en fond. Les monstres font toujours peur, sans avoir pour autant besoin d'en recourir au gore physique, et j'aime toujours Alice. ^^
"Les Sorcières de l'épouvanteur" n'est pas le tome 8, mais un recueil d'histoires courtes qui se passe dans le même univers, centré sur des personnages de sorcières. Environ 200 pages en tout. J'aime toujours l'univers, donc c'est agréable à lire. La première, sur la romance entre John Gregory et Meg, n'apportait pas grand chose de surprenant mais éclaircissait certains points. La seconde, sur une des sorcières mortes de Pendle, était intéressante, elle montre bien à quel point les sorcières "moyennes" réussissent à la fois à être des monstres immoraux, mais à être humaines et avec une personnalité. J'ai beaucoup aimé la troisième, sur Grimalkin et comment elle est devenue la tueuse des Malkin, et la quatrième, sur les débuts d'Alice comme apprentie de Lizzie. La dernière est du point de vue de Tom, et n'a dont pas l'intérêt d'être un point de vue alternatif, mais certains points de l'histoire seront potentiellement utiles dans le tome 8. C'est bien dommage qu'on n'ait pas eu d'histoire du point de vue de Lamia, ou sur elle, par contre.
"Histoires fantastiques pragoises", par Gustav Meyrink
Environ 200 pages. La dernière fois, je m'étais dit que je tenterais ses nouvelles avant de commencer un nouveau roman, donc voilà, j'ai emprunté celui-là à la bibliothèque avant de lire La nuit de Walpurgis.
Le recueil est divisé en quatre parties bien distinctes.
La première consiste en une sélection de nouvelles du début de sa carrière. C'est très différent de ce que je connais de lui, très orienté body horror, avec beaucoup d'insistance sur les parties du corps séparées qui continuent à vivre (la plante constituée de veines avec les yeux qui vous regardent comme fruits m'a mise mal à l'aise), et aussi beaucoup d'humour noir. Beaucoup moins orienté occultisme que ce qu'il fera plus tard, même si ça commence à se sentir dans les dernières.
La seconde partie est, elle, riche en occultisme, en mysticisme, en distinction très floue entre l'illusion et la réalité, et n'a pratiquement plus d'horreur matérielle et grotesque. Il y a des figures récurrentes de nouvelle en nouvelle, comme ce Sacroboso Haselmeyer qui est parfois juste un occultiste, parfois une figure démoniaque, ou cette secte asiatique qui aurait fondé Prague, et des détails très réels se mélangent à des délires.
La quatrième partie, elle, est une série de descriptions de Prague, la première plus satirique, les autres plus mystiques et dans la veine de la seconde partie.
La troisième... plus que des nouvelles, ce sont un plan et des extraits d'un roman que Meyrink n'a jamais fini. Les thèmes sont assez proches de ceux du reste du livre, il y a une secte asiatique, il y a un médecin qui utilise la psychanalyse pour le mal et qui a trouvé le moyen d'utiliser des stimuli qui créent des complexes chez ses patients, il y a de vieilles légendes sur une alchimiste qui aurait vécu dans une maison et son descendant qui peut réparer n'importe quelle montre, il y a un homme qui atteint l'illumination seulement quand une tache d'humidité apparaît sur son mur, qui est fou le reste du temps... je dois avouer que les images sont assez fascinantes. Le plan de la façon dont il comptait les recoller a de très bonnes idées, mais aussi des passages presque décevants, et en lisant les extraits on a l'impression qu'il voulait déjà s'en écarter, qu'il a prévu mieux... argh. Je l'aurais lu. (Il faut dire que bon, un méchant dont la spécialité est le mindfuck, justifié par un mélange de science et d'occultisme... ^^)
Par contre, ces nouvelles (en général) utilisent souvent des figures orientales comme méchants, et même si l'auteur essaie de faire en sorte que ça ne soit pas raciste (c'est montré dans un cadre "les asiatiques ont une plus grande puissance spirituelle que nous, ils peuvent faire des choses que nous n'imaginons pas, mais quand c'est corrompu par la culture occidentale et son individualisme ça devient très dangereux"), mais... soyons honnêtes, il échoue en grande partie. ^^
Progression : Fini (73/52)
"Risques de lecture" : Les Hauts de Hurlevent, Histoires fantastiques pragoises -> 25/26
"Les Hauts de Hurlevent", par Emily Brontë
Encore un classique que je n'avais jamais lu (roman, environ 450 pages dans ma VF).
C'était très chouette, j'aime l'ambiance, j'aime les personnages mais de loin de préférence. ^^ Je pensais que j'avais été spoilée, mais en fait c'était seulement sur certains éléments du Catherine/Heathcliff (qui est le centre de l'histoire, mais pas l'unique élément, de loin), et au total il me restait plein de surprises. En particulier, j'ai eu la chance d'à peine survoler l'arbre généalogique spoiler au début de tome, et de le résumer dans ma tête en "ils s'appellent tous pareil". ^^
Sinon : certains éléments de la fin me semblent un peu rapide, mais elle reste globalement satisfaisante, le côté fantastique (au sens 19e "c'est peut-être du surnaturel... ou peut-être pas") est plus présent que je n'aurais cru et c'est cool, et... bon, vu que j'ai réussi à n'être presque pas spoilée, ça serait vil de ma part de spoilers les gens avec. Mais ça me ferait plaisir de discuter avec des fans dans les commentaires de ce post !
(Mais quand même, c'est moi, c'est la traduction, ou ça se passe dans un univers alternatif où personne n'est capable de réaliser/personne n'a l'impudeur de mentionner qu'une femme est enceinte jusqu'au jour de l'accouchement ? ^^)
"Le Cauchemar de l'épouvanteur", et "Les Sorcières de l'épouvanteur" par Joseph Delaney
Roman, environ 360 pages, tome 7 de la série (je vais bientôt arriver au bout de ce qui est traduit en français, mais peu importe, ça sort vite en VO et ça se fait vite traduire, je n'aurai pas beaucoup à attendre).
Pas grand chose à dire, à part que j'aime toujours autant, on garde toujours l'aspect moralement ambigu et les alliances douteuses, avec un peu de guerres médiévales en fond. Les monstres font toujours peur, sans avoir pour autant besoin d'en recourir au gore physique, et j'aime toujours Alice. ^^
"Les Sorcières de l'épouvanteur" n'est pas le tome 8, mais un recueil d'histoires courtes qui se passe dans le même univers, centré sur des personnages de sorcières. Environ 200 pages en tout. J'aime toujours l'univers, donc c'est agréable à lire. La première, sur la romance entre John Gregory et Meg, n'apportait pas grand chose de surprenant mais éclaircissait certains points. La seconde, sur une des sorcières mortes de Pendle, était intéressante, elle montre bien à quel point les sorcières "moyennes" réussissent à la fois à être des monstres immoraux, mais à être humaines et avec une personnalité. J'ai beaucoup aimé la troisième, sur Grimalkin et comment elle est devenue la tueuse des Malkin, et la quatrième, sur les débuts d'Alice comme apprentie de Lizzie. La dernière est du point de vue de Tom, et n'a dont pas l'intérêt d'être un point de vue alternatif, mais certains points de l'histoire seront potentiellement utiles dans le tome 8. C'est bien dommage qu'on n'ait pas eu d'histoire du point de vue de Lamia, ou sur elle, par contre.
"Histoires fantastiques pragoises", par Gustav Meyrink
Environ 200 pages. La dernière fois, je m'étais dit que je tenterais ses nouvelles avant de commencer un nouveau roman, donc voilà, j'ai emprunté celui-là à la bibliothèque avant de lire La nuit de Walpurgis.
Le recueil est divisé en quatre parties bien distinctes.
La première consiste en une sélection de nouvelles du début de sa carrière. C'est très différent de ce que je connais de lui, très orienté body horror, avec beaucoup d'insistance sur les parties du corps séparées qui continuent à vivre (la plante constituée de veines avec les yeux qui vous regardent comme fruits m'a mise mal à l'aise), et aussi beaucoup d'humour noir. Beaucoup moins orienté occultisme que ce qu'il fera plus tard, même si ça commence à se sentir dans les dernières.
La seconde partie est, elle, riche en occultisme, en mysticisme, en distinction très floue entre l'illusion et la réalité, et n'a pratiquement plus d'horreur matérielle et grotesque. Il y a des figures récurrentes de nouvelle en nouvelle, comme ce Sacroboso Haselmeyer qui est parfois juste un occultiste, parfois une figure démoniaque, ou cette secte asiatique qui aurait fondé Prague, et des détails très réels se mélangent à des délires.
La quatrième partie, elle, est une série de descriptions de Prague, la première plus satirique, les autres plus mystiques et dans la veine de la seconde partie.
La troisième... plus que des nouvelles, ce sont un plan et des extraits d'un roman que Meyrink n'a jamais fini. Les thèmes sont assez proches de ceux du reste du livre, il y a une secte asiatique, il y a un médecin qui utilise la psychanalyse pour le mal et qui a trouvé le moyen d'utiliser des stimuli qui créent des complexes chez ses patients, il y a de vieilles légendes sur une alchimiste qui aurait vécu dans une maison et son descendant qui peut réparer n'importe quelle montre, il y a un homme qui atteint l'illumination seulement quand une tache d'humidité apparaît sur son mur, qui est fou le reste du temps... je dois avouer que les images sont assez fascinantes. Le plan de la façon dont il comptait les recoller a de très bonnes idées, mais aussi des passages presque décevants, et en lisant les extraits on a l'impression qu'il voulait déjà s'en écarter, qu'il a prévu mieux... argh. Je l'aurais lu. (Il faut dire que bon, un méchant dont la spécialité est le mindfuck, justifié par un mélange de science et d'occultisme... ^^)
Par contre, ces nouvelles (en général) utilisent souvent des figures orientales comme méchants, et même si l'auteur essaie de faire en sorte que ça ne soit pas raciste (c'est montré dans un cadre "les asiatiques ont une plus grande puissance spirituelle que nous, ils peuvent faire des choses que nous n'imaginons pas, mais quand c'est corrompu par la culture occidentale et son individualisme ça devient très dangereux"), mais... soyons honnêtes, il échoue en grande partie. ^^
Progression : Fini (73/52)
"Risques de lecture" : Les Hauts de Hurlevent, Histoires fantastiques pragoises -> 25/26
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L'Epouvanteur!! ^________^
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Yeah, ça y est, je suis à jour sur les sorties françaises de l'Epouvanteur ! Pas les sorties anglaises, donc, mais ça c'est une plutôt bonne nouvelle, ça veut dire qu'on en aura un autre dans pas trop longtemps. Ils sortent super-vite, en fait !
Je suis toujours aussi fangirl d'Alice ♥ Elle me fait un peu penser à la copine du héros dans La montagne verte, un de mes contes préférés, je ne sais pas si tu connais...
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Bon maintenant, j'aurais pu éventuellement pousser un peu plus loin mais bon...^^;
Vouaip. J'ai eu de la chance. A ma bibliothèque, ils ont peu de sagas complètes de fantasy ou assimilés, mais celle-là fait partie des sagas complètes, ce qui fait que j'attends avec impatience le prochain qui va sortir.
La montagne verte ? Nope, je ne connais.
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Et quand il arrive chez le diable, c'est la plus jeune de ses trois filles. ^^
Alors le héros, qui est très vaillant et qui a un culot de dingue, mais qui est un peu con, dit qu'il est venu servir le diable comme conclu par ses parents, mais que vu qu'il est vraiment très bon, ça ne sera que pendant trois jours.
Le diable lui propose le marché suivant : s'il suit très exactement les ordres pendant ces trois jours, alors oui, sa dette sera payée, et il aura en plus un trésor et une de ses filles en mariage. S'il échoue à une des tâches, le diable prendra son âme.
Il accepte, et il croyait qu'on allait l'envoyer pourfendre des dragons, et à la place il se retrouve avec des super-tâches ménagères, du genre en un jour, enlever la caillasse d'un champ, labourer, semer, récolter le blé, et faire du pain avec.
Mais la fille du diable, qui a un crush sur lui, soudoie sa soeur aînée pour aller lui porter le repas de midi à sa place, et lui fait tout par magie.
Et pareil le second jour, sauf que c'est une autre tâche et sa deuxième soeur. Et le diable commence à soupçonner quelque chose, et il demande au héros d'aller retrouver son anneau qu'il a perdu tout en haut de la montagne, et pour une fois, le héros est content, ça a l'air faisable, mais quand il essaie de monter il n'y a pas une seule prise, c'est du verre pur, alors il glisse en bas, et quand la fille arrive, elle lui dit que le haut de la montagne est au royaume divin, alors elle ne peut pas le faire pour lui.
Alors elle lui explique : voilà ce qu'on va faire, tu vas faire bouillir mon cadavre, tu vas te faire une échelle avec les os, et tu pourras monter en haut de la montagne.
Ce qui me fait délirer, dans ce passage, c'est l'expression traumatisée du héros, avec la fille du diable qui est limite fais pas ta mijaurée, ensuite tu remettras les os dans le chaudron et je ressusciterai, mais si, tout est normal, voyons. ^^
Enfin ils le font, le héros réussit à monter jusqu'au ciel et redescendre en une journée avec l'échelle d'os, parce que voilà, il est bourrin, par contre il ne brille pas par son intelligence, et il oublie un os du petit doigt quand il la reconstitue.
Et heureusement, parce que quand le diable reconnaît qu'il doit tenir son accord, lui donner un trésor plus la main d'une de ses filles, mais comme c'est le diable, elles sont voilées et indiscernables.
Et bien sûr, il trouve laquelle c'est en voyant à laquelle il manque un os au petit doigt.
Et ensuite, leur départ est plus ou moins mouvementé selon les versions (parfois, dans l'accord du diable, il y avait les laisser partir, et parfois, il y a une course-poursuite terrible), mais dans tous les cas, ils finissent par revenir dans le monde des humains et y vivre heureux.
C'est ma copine-de-héros préférée de conte !
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Comme ça, quand il faudra choisir dans le noir entre les trois filles, il la reconnaîtra facilement grâce à ça.
Les tâches: c'est débiter un bois entier avec une hache et une scie qui sont pourris, aller chercher un bijou qu'un poisson a avalé, et récupérer un autre bijou situé tout en haut d'un mât glissant..^^
Pour trouver son chemin vers la Montagne Verte, il rencontre une sorcière, un aigle et un autre aigle, et c'est le dernier aigle qui connaît le chemin vers la montagne verte.
My God, je pensais pas me rappeler autant de détails sur cette légende. XD
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Dans la mienne, c'était clair que l'oubli du doigt n'était pas fait exprès, et la fille du diable fait un grand soupir quand elle s'en rend compte. ^^
Mais voilà, c'est comme ça avec les histoires qui n'ont pas une version plus connue que les autres recueillie par un auteur connu et tout. Moi j'aime bien, ça me permet de la raconter exactement comme je veux. ^^
Et donc voilà, ce côté du côté du héros mais j'ai élevée par les méchants alors avec pas du tout la même notion de ce qui est normal ou pas, ça me fait un peu penser à Alice. ^^
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Ce que tu dis, ça me fait penser à Donna dans Doctor Who, qui dans Planet of the Ood, disait à Ten qu'à force de le côtoyer, elle ne savait plus bien différencier le bien du mal. ^^;
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Tu as fini par lire "Jane Eyre" ? Connais-tu "Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" ? Ce dernier est très chouette, c'est ma lecture actuelle, et il y a des références aux soeurs Brontë et à leurs œuvres. Ça m'a donné très envie de trouver une biographie de la fratrie Brontë, je les trouve fascinants.
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Moi j'aimais bien Catherine mère, mais de loin. ^^
Mais j'aime bien la fille, par contre. Et Linton est insupportable en tant que mari, mais en tant que père il se rachète, je trouve.
Heathcliff a trop la classe, c'est vraiment un "méchant" excellent. A la fin, j'ai trouvé qu'il renonçait presque trop vite. Bien sûr, c'était devenu sans but depuis longtemps, sa vengeance, c'est vrai, mais justement, jusqu'ici ça ne l'avait pas arrêté. ^^
Tu te rappelles ce détail comme quoi personne ne mentionne jamais qu'une femme est enceinte, même pas le médecin, même pas avec des euphémismes, elles accouchent toutes comme par surprise ? Je vais finir par croire que Nellie a un squick sur la grossesse et coupe tous ce moments de son histoire. C'est ça, ou l'AU dans lequel ça ne se voit pas. ^^;
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Ca me rappelle que j'aimais aussi beaucoup Hareton le rustre ! Et sa façon de courtiser Catherine fille - qui était bien plus sympathique que sa mère. Je crois que quelque part j'ai été un peu déçue que Heathcliff n'aille pas jusqu'au bout, c'était un perso tellement extrême que ça m'a laissé un goût d'inachevé.
L'occultation de la grossesse ne m'avait pas choqué, en même temps l'époque victorienne était très pudibonde... Peut-être qu'on n'en parlait pas ? Mais ça me semble effectivement bizarre.